Auteur : CARPENTIER Marie-Hélène
Titre : La résistance de la Première heure
Revue : Bulletin de la Société d’Histoire et d’archéologie de Saint-Maur-des-Fossés 77/4 (2010)
« Le 21 octobre 1943, Germaine est déportée avec vingt prisonnières NN (Nacht und Nebel : Nuit et Brouillard) inculpées dans la même « affaire ». Germaine retrouve « Danielle », Anise Girard, sur le quai de la gare. Le 3 février 1944, Emilie Tillion arrive à Ravensbruck parmi les 958 femmes françaises dans le transport des « 27 000 ». Geneviève de Gaulle est dans le même convoi. Germaine apprend très vite la présence de sa mère à l’appel du matin. Elle fut pétrifiée du douleur. Emilie, elle, quand sa fille put l’embrasser, ne fut que joie ».
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