Partenariat « Mémoire et Vigilance » entre la Fondation pour la mémoire de la déportation et le Conseil économique, social et environnemental

Le CESE et la Fondation pour la Mémoire de la Déportation s’associent pour promouvoir le respect des droits fondamentaux et des libertés

Alors que la haine raciste, antisémite et xénophobe se manifeste dans notre pays et par le monde, le CESE souhaite contribuer à promouvoir le respect des droits fondamentaux et des libertés et à combattre les discours de haine et de la violence qui en découlent. 

Dans les pas du Président Jacques Chirac, qui, le premier, reconnut la responsabilité de la France dans la déportation des juifs sous le régime de Vichy, pendant la Seconde Guerre mondiale, le CESE et la Fondation pour la Mémoire de la Déportation souhaitent sensibliser le public à l’histoire des la déportations en France et en Europe et à celle de l’internement politique pratiqué par l’occupant et le gouvernement de Vichy sur la période 1940-1945.

Ce partenariat, officiellement mis en place ce 2 octobre, se manifestera au cours de nombreuses actions de coopération entre les deux institutions pour les années 2019-2020. 

Serge Wolikow a insisté sur la nécessité de « faire vivre les valeurs pour lesquelles les déportés ont surmonté l’horreur des camps : celle du refus de toute forme d’exclusion et de racisme et celle d’indignation quand l’homme est menacé dans sa liberté, sa dignité et sa vie ».

« Mettre en commun nos volontés et nos forces est nécessaire pour assurer un travail de mémoire et une obligation de connaissances, afin de porter ensemble les valeurs d’une République solidaire et fraternelle », a rappelé Patrick Bernasconi.